Mes engagements à l’Assemblée nationale
À l’Assemblée nationale, je suis membre de la commission des Affaires économiques depuis janvier 2023. En 2022, j’ai débuté mon mandat en tant que membre de la commission du Développement durable et de l’aménagement du territoire (DDAT) pour laquelle j’ai été rapporteur pour avis sur le programme budgétaire "Énergie, climat et après-mines” du projet de loi de finances pour 2023.
Le 26 octobre 2022, j’ai été désigné rapporteur de la Commission d’enquête visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d'indépendance énergétique de la France qui a conduit ses travaux jusqu’en avril 2023.
Je suis également membre de l’Assemblée parlementaire franco-allemande (APFA) et co-Président du groupe d’études Pastoralisme.
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La séance plénière, qui réunit les 577 députés dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, est publique : toutes les sessions sont accessibles au public et retransmises en ligne. Cette caractéristique vaut à la séance plénière d’être également appelée la séance publique. Cette publicité des débats constitue l’un des piliers de la démocratie parlementaire en France.
Les 577 députés se retrouvent en séance publique pour exercer leurs compétences. Lors de l’examen de textes en séance publique, tous les députés peuvent déposer des amendements et prendre la parole pour les défendre. Les députés peuvent également interroger le Gouvernement lors des sessions de questions au Gouvernement qui se tiennent chaque mardi.
La séance publique rassemble les députés et au moins l’un des membres du Gouvernement. Le Gouvernement est systématiquement représenté lors des séances - à l’exception de rares débats sur certaines propositions de résolution. Le Gouvernement peut intervenir lorsqu’il le souhaite à condition de respecter les règles de tenue de la séance.
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À l’Assemblée nationale, un député est obligatoirement membre de l’une des huit commissions permanentes (Affaires culturelles et éducation, affaires économiques, affaires étrangères, affaires sociales, défense et forces armées, développement durable et aménagement du territoire, finances, lois). Le rôle d’une commission est de préparer les débats sur les textes qui seront ensuite examinés en séance publique, c’est-à-dire par l’ensemble des députés, d’informer et de contrôler le Gouvernement.
En début de législature, l’Assemblée nationale nomme les membres de chacune des 8 commissions permanentes en respectant une représentation proportionnelle des différents groupes politiques. Chaque commission désigne son bureau (Président, Vice-présidents, secrétaires). La composition des commissions n’évolue pas au cours d’une législature et, sauf de rares cas, les membres d’une commission permanente le sont pour toute la législature.
En principe, les commissions ne se réunissent pas en même temps qu’une séance publique. Le mercredi matin est réservé pour les travaux des commissions. En pratique, ce principe est difficile à appliquer : afin de respecter l’ordre du jour relativement dense des commissions et de la séance, les réunions des commissions sont régulièrement tenues pendant les horaires de séance.
Depuis janvier 2023, je suis membre de la commission des Affaires économiques, après avoir été membre de la commission du Développement durable et de l’aménagement du territoire en 2022.
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La Commission d’enquête parlementaire permet de contrôler l’action du Gouvernement et de recueillir des éléments d’information sur des faits précis relatifs à la gestion du service public, à la gestion d’une entreprise nationale ou à des questions de société. En France, chacune des chambres parlementaires (Assemblée nationale et Sénat) peut créer une commission d’enquête en adoptant la proposition de résolution visant à sa création déposée par un parlementaire.
Un “droit de tirage” annuel permet également à chaque groupe politique d’inscrire à l’ordre du jour de la séance publique une proposition de résolution visant à créer une commission d’enquête. Ce droit de tirage ne s’applique qu’une fois par session ordinaire, c’est-à-dire une fois par année de travail parlementaire (octobre - juin).
Aucune enquête ne peut concerner des faits faisant l’objet d’une procédure judiciaire en cours. La Commission d’enquête peut convoquer des personnes, les auditionner sous serment, contrôler des pièces spécifiques et rendre publiques ses auditions.
A l’issue de ses travaux – six mois maximum – la Commission d’enquête peut publier son rapport. A l’Assemblée nationale, les commissions d’enquête sont composées d’une trentaine de députés. Elle est composée d’un Président notamment chargé de présider les réunions de la Commission et d’un rapporteur chargé de rédiger le rapport sur les travaux de la Commission. Le rapporteur à des pouvoirs spécifiques : il exerce les missions sur pièces et sur place et il est habilité à se faire communiquer tous les documents qu’il souhaite (sauf les documents revêtant un caractère secret).
Le 26 octobre, j’ai été désigné rapporteur de la Commission d’enquête demandée le 5 septembre 2022 par le groupe Les Républicains, sur les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France. Par conséquent, je veillerai à ce que la Commission examine la situation énergétique actuelle du pays et retrace l’ensemble des choix des acteurs publics et privés, français et européens, qui ont conduit à la situation actuelle, au moins depuis les années 1990.La Commission, présidée par le député Les Républicains Raphaël Schellenberger, compte 31 députés et dispose de six mois pour rendre ses travaux. Comme toute commission d’enquête, elle dispose de prérogatives spéciales : contrôle sur place et sur pièces ; convocation contraignante devant la Commission ; obligation de prêter serment pour les auditionnés. Les auditions, publiques et diffusées en ligne, débutent dès la semaine du 31 octobre.
Congrès mondial de l'énergie à Rotterdam
Pendant une semaine, cet événement réunit les acteurs clés du secteur énergétique du monde entier pour des temps forts : conférences, rencontres, débats... Plus de 200 intervenants de haut niveau, 70 ministres et 7000 participants ont échangé sur les défis et les opportunités du domaine.
Gaz vert : sur la plateforme GAYA d’ENGIE
Gaya, la plateforme de R&D d'ENGIE à Saint-Fons (Rhône), a réussi à brûler nos déchets solides pour en faire du gaz injectable dans le réseau de gaz existant, ça c'est une première mondiale !
Audition de Xavier Piechaczyk, PDG de RTE
Ce mercredi matin en commission des affaires économiques, j’ai interrogé Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE.
Audition de Luc Rémont, PDG d’EDF
Ce matin, je suis intervenu en commission des affaires économiques, au nom du groupe Renaissance, pour interroger le PDG d’EDF sur l’accord conclu entre l’État et EDF et ses conséquences concrètes.
Budget 2024 pour la transition énergétique
Ce matin, je suis intervenu en commission des affaires économiques, au nom du groupe Renaissance, pour exprimer notre position sur le budget 2024 consacré à la transition énergétique.
Paris Infra Week
Pour atteindre la neutralité carbone en 2050, nous avons désormais un plan. Au Paris Infra Week, j'ai insisté sur les leviers à décliner partout en France.
Colloque du Syndicat des énergies renouvelables (SER)
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Congrès de France Gaz
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À la centrale nucléaire du Bugey
Avec mes collègues parlementaires investis sur les sujets énergétiques, nous avons pu visiter la centrale nucléaire du Bugey dans l’Ain, qui accueillera la 3ème paire d'EPR2.
Mur énergétique : premières conclusions pour la programmation énergétique
En charge de la synthèse et du bouclage énergétique de la concertation lancée par Agnès Pannier-Runacher, je présentais aujourd’hui de premiers éléments aux côtés de mes collègues des autres groupes de travail.
À Jeumont avec les élèves du lycée Louis Armand et sur le site de Framatome
Aujourd’hui au lycée Louis Armand de Jeumont pour remettre le prix de mon association à des jeunes qui incarnent notre avenir industriel et énergétique !
Table ronde sur la chaleur renouvelable et la biomasse
Aujourd’hui avec une quarantaine de participants, producteurs de gaz, biogaz, chaleur renouvelable pour évoquer le bouclage énergétique et notamment les usages de la biomasse.
Visite du barrage de Grand’Maison
À Grand’Maison en Isère aux côtés d’Agnès Pannier-Runacher : 1800MW de puissance installée et deux tiers de la flexibilité du système électrique français sur ce site exceptionnel.
Table ronde avec les syndicats de l’énergie
Ce matin, lancement de la première table ronde organisée avec mon collègue député David Amiel, réunissant les syndicats de l’énergie.
Conseil Supérieur de l’Énergie
Riches échanges au Conseil Supérieur de l’Energie, une instance remarquable où tous les points de vue et filières sont représentés.
Préparation de la loi de programmation sur l’énergie et le climat (LPEC)
Ces prochains mois, des décisions majeures pour l'avenir énergétique de notre pays seront prises : la loi de programmation sur l'énergie et le climat (LPEC) la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) qui déclinera les objectifs fixés par la loi.